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Le Forum arabe pour l'environnement et le développement (AFED), une organisation civile régionale, a annoncé hier, lors d'une conférence de presse au siège de l'ordre de la presse, que son conseil de tutelle a choisi Beyrouth pour tenir sa prochaine conférence annuelle sur le changement climatique, en novembre. La conférence sera placée sous le patronage du président de la République Michel Sleiman.
SHAIZAR CASTLE, Syria: Only a few decades ago, fish were plentiful in the Orontes River which for thousands of years has provided water to the lush Syrian plains, at the crossroads of the ancient world. These days the Orontes’ 12th century norias, enormous water wheels famous for their distinctive creak, barely turn in the weak tides. Algae covers the river’s surface and the desert has been closing in.
“The river has become so polluted. The quality of our produce has suffered and there is barely enough now to feed my family,” said 80-year-old farmer Mohammad al-Hamdo.
BEIRUT: The Nation Brand Perception Index (NBPI) ranked Lebanon in 174th place among 200 countries around the world and in 15th place among 19 countries in the Middle East and North Africa region in the second quarter of 2009, as reported by Lebanon This Week, the economic publication of the Byblos Bank Group.
Lebanon also came in 35th place among 39 upper-middle income countries (UMICs) included in the survey.
The NBPI represents the first scientific basis for analyzing international perceptions of a country’s brand. It covers the tone, whether positive or negative, and frequency of mentions in the international media. It said the number of times a country is mentioned reflects the strength of the brand, but not necessarily its quality.
Le royaume hachémite a pour ambition d'exporter de l'électricité en 2030, affirme le directeur de la JAEC.
La Jordanie avance « à grands pas » dans le développement de son programme nucléaire civil afin de passer d'un pays importateur d'énergie en pays exportateur d'électricité en 2030, assure le directeur de la Commission jordanienne de l'énergie atomique (JAEC).
« Nous avançons à grands pas dans le domaine du nucléaire civil dans le but de nous libérer de notre dépendance croissante de l'importation de carburant », explique Khaled Toukan, directeur de la JAEC depuis sa création en mars 2008. « Notre but est de passer d'un pays importateur d'énergie en pays exportateur d'électricité en 2030 », dit-il.
Les chiffres publiés par la Banque du Liban (BDL) ont montré que les transactions électroniques de transfert de fonds vers et à partir du Liban ont totalisé 1,4 milliard de dollars en 2008. Ces flux ont donc progressé de quelque 31,7 % par rapport à la somme de 1,06 milliard de dollars enregistrée en 2007.
Plus précisément, un total de 960,4 millions de dollars ont été transférés électroniquement vers le Liban en 2008, en hausse de 31 % par rapport à l'année précédente. En 2007, les transferts vers le Liban avaient totalisé 321 millions de dollars, contre 240 millions de dollars en 2006 et 389 millions de dollars en 2005.
Kawkab Andraous avait 53 ans. Depuis la fin des années soixante-dix, elle travaillait en Israël. Elle faisait partie du personnel d'un hôtel de la Galilée. Quand les Israéliens avaient évacué le Liban-Sud en mai 2000, Kawkab était à Safad. Elle n'est plus jamais rentrée au Liban. En avril 2008, son cercueil a franchi la frontière à Ras Naqoura.
Kawkab ne s'est jamais mariée. Elle a travaillé toute sa vie pour s'occuper de sa mère, toujours vivante, et de ses frères et sœurs. Elle avait décidé de prendre sa retraite et de rentrer au Liban à la fin de 2008. Mais quelques mois avant son retour au pays, elle a été fauchée par une motocyclette. Elle est morte sur-le-champ.
Randa Louka et Khalil Ziné avaient fui en Israël en mai 2000. Ils sont partis avec leurs enfants. C'est en Israël que leur fils Anthony est né. Il a aujourd'hui sept ans. Mais le petit Anthony est jusqu'à présent un sans-papiers ; il est né en territoire ennemi.
Pour trouver des papiers d'identité à son fils, Khalil Ziné a dû déposer plainte il y a un an et demi. Le juge l'a envoyé à la Sûreté générale, mais cet organisme ne veut pas entendre sa version des faits. C'est que, comme tous les habitants du Liban-Sud ayant fui en Israël, Khalil a à son encontre un mandat d'amener. « Tant qu'il y a un mandat d'amener à mon encontre, je ne peux pas être entendu par la Sûreté générale », soupire Khalil qui ignore quand ce mandat d'amener sera annulé.
Le village de Aïn Ebel, exclusivement chrétien dans la bande frontalière, compte 12 500 habitants. Mais ils ne sont que 1 500 à vivre au village en hiver et 3 000 en été. Un grand nombre d'habitants de Aïn Ebel vivent en permanence à Beyrouth et une autre partie a émigré depuis longtemps au Canada, aux États-Unis, en Australie, voire en Nouvelle-Zélande. Quelques terrains ont été vendus à Aïn Ebel à des étrangers au village. Ce ne sont pas les émigrés qui vendent leurs terrains, mais les originaires du village restés au Liban car ils ont besoin d'argent.
Debl, village exclusivement maronite du caza de Bint Jbeil, compte deux églises, toutes les deux dédiées à saint George (Mar Géryès), patron du village.
Il y a une ancienne en pierres blanches. Toute petite, elle est à nouveau utilisée pour la plupart des offices religieux et les jours de fête.
Il y a aussi une autre église, beaucoup plus grande, construite durant les années soixante-dix. Elle a été touchée par les bombardements israéliens lors de la guerre de juillet 2006 et depuis, elle n'a pas été entièrement restaurée.
Neuf ans après le retrait israélien de la bande frontalière, il reste des centaines, voire des milliers de personnes originaires du Liban-Sud et qui avaient fui en Israël avec le départ de l'armée israélienne.
Des familles entières sont donc restées en Israël. D'autres se sont divisées avec le temps qui passait. Les femmes sont rentrées au pays avec les enfants, laissant leur mari derrière la frontière.
À Debl, village exclusivement maronite de la bande frontalière, il reste environ 250 personnes en Israël. La plupart des proches de ces personnes vivent cette situation comme un fait accompli. Ils n'osent pas rêver de voir leurs bien-aimés rentrer au pays et appréhendent le traitement réservé par les autorités à ceux-là.